Les gars de Nickelback ont l’air vraiment sympas. Ils sont canadiens, ce qui, j’en suis sûr, est un facteur. Mais pendant que vous regardez le nouveau documentaire Je déteste aimer : Nickelback, il est presque impossible de trouver une raison de ne pas aimer ces gars-là. Ce sont des musiciens bourreaux de travail qui écrivent constamment des chansons et tournent pour leurs fidèles disciples. Le chanteur et auteur-compositeur en chef Chad Kroeger apparaît comme le « mauvais garçon » du groupe, et c’est essentiellement parce qu’il aime toujours faire la fête alors que le reste des gars sont des pères mariés et heureux. La chose la plus mesquine que fait Chad dans le documentaire – dont la première mondiale a eu lieu à le Festival international du film de Toronto 2023 – s’énerve lorsque des haineux passent et se moquent de lui parce qu’il est à Nickelback. Si c’est le prix du succès de Kroeger, je dirais qu’il se porte très bien.
Pas ça Je déteste aimer est un récit complet de l’histoire de Nickelback. Le réalisateur Leigh Brooks a déclaré au public du TIFF qu’il n’avait pas au départ l’intention de faire un documentaire sur Nickelback. Il avait été embauché pour capturer quelques vidéos du groupe pour un projet distinct, mais il avait ensuite continué à filmer et à suivre les camarades du groupe lors de diverses tournées. Six ans plus tard, et avec le plein soutien du groupe, Brooks a dressé un portrait incroyablement poli, superficiel et trop gentil (désolé, photo) d’un groupe de rock qui a réussi à traîner depuis 1995.
Il y a un moment où le guitariste de Nickelback, Ryan Peake, plaisante en disant que le groupe reçoit un prix pour l’ensemble de sa carrière pour « ne jamais vraiment partir ». Et c’est vrai. Nickelback a débuté ses activités en 1995 à Hanna, en Alberta. C’était un groupe de reprises (surnommé Village Idiots) qui a évolué vers une unité de hard rock. Ils ont contribué l’un des les chansons de super-héros les plus mémorables des années 2000. Ils ont vendu plus de 50 millions d’albums. Ils ont accumulé plus de 25 singles en tête des charts. Et ils ont été intronisés au Panthéon de la musique canadienne.
Mais vous les connaissez probablement mieux pour une série de TikToks viraux en utilisant la musique du groupe ou les mèmes créés autour de Chad Kroeger tenant un cadre photo.
Mon mème @Nickelback préféré ! 😂Étant un Nickelbacker et un fan de LOTR, pourquoi devrais-je me plaindre de ce mème ! 🥰🥰🥰Grand MERCI au créateur ! 🤝 pic.twitter.com/K8GMj2tffG31 août 2023
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Leigh Brooks qualifie Nickelback de groupe que les gens aiment détester. Ou je déteste aimer. Je ne suis pas sûr que ce soit vrai non plus. Comme le documentaire, Nickelback semble être… là. Leur musique est parfaitement bien. Certaines chansons sont même très bonnes. Je ne connaissais rien de Nickelback avant de regarder le documentaire, et absolument rien de ce que j’ai appris ne m’a surpris. Le parcours du groupe est tout droit sorti du livre de jeu Rock ‘n Roll. De nombreuses tournées. Emprunter de l’argent à leur grand-mère pour produire un album. Une grosse rupture pour un label qui ne savait pas trop comment les gérer. Et enfin, une série de succès radiophoniques avec « How You Remind Me » et « Hero », qui en ont fait du jour au lendemain des sensations.
Mais il n’y a pas de véritable drame Je déteste aimer : Nickelback, pas d’horribles squelettes dans le placard de ce groupe. Si une telle controverse existe, Leigh Brooks l’a évitée. Il y a une mention passagère de Le mariage de Chad Kroeger avec Avril Lavigne a duré deux ans, mais aucun détail précis. Lorsque le groupe s’est séparé du batteur original Ryan Vikedal, le documentaire consacre une bonne partie du documentaire à Ryan Peake racontant l’histoire de sa visite chez Vikedal pour s’excuser et s’assurer qu’ils resteraient amis. Encore une fois, vraiment sympa.
Nickelback peut sembler être la cible de quelques blagues. Blake Shelton se moque d’eux sur La voixet compatriote canadien Ryan Reynolds s’assure qu’ils sont présenté dans sa franchise Deadpool (même s’il les défend vraiment). Au final, Nickelback reste un groupe de rock à succès composé de gars vraiment sympas, ce qui leur permet d’avoir le dernier mot.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.cinemablend.com/movies/i-watched-the-nickelback-documentary-and-i-just-dont-get-why-people-hate-this-band?rand=21354