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Une revue des 9 balles de Lena Headey

Une femme au passé difficile qui cherche une seconde chance. Un enfant récemment orphelin et son chiot protecteur à la recherche de quelqu’un à aimer. Un criminel impitoyable à la recherche de son argent manquant. Avec un tel parfaitement cibles de narration alignées, c’est déconcertant à quel point 9 balles il manque la cible. La scénariste-réalisatrice Gigi Gaston mélange ces personnages et leurs conflits dans l’une des images les plus dispersées de l’année, un pastiche de cliché et de prévisibilité qui semble ridiculement désordonné au mieux, et hokey au pire. C’est un raté, mais rendu semi-appétissant grâce à une performance décente de la principale dame Lena Headey, et de toutes choses, une ballade émouvante écrite par Diane Warren.

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Un pissenlit est une mauvaise herbe qui pousse jusqu’à atteindre sa beauté florale dont le cycle de vie se termine sur une note mélancolique et superstitieuse. Une ouverture closedebout, s’attardant sur cette boule de semis blancs vaporeux prenant leur envol au gré d’une douce brise, constitue une métaphore de notre héroïne : la danseuse burlesque coriace Gypsy (Headey, Game of Thrones) est sur le point de faire le voyage de sa vie. Après avoir vendu ses mémoires (remplies de gribouillages profonds et introspectifs semblables au compte Blogspot d’une jeune fille de 13 ans), Gypsy quitte son emploi, ramasse sa caravane et se prépare pour une croisière où elle espère terminer ses réécritures. . Lors de sa dernière nuit en ville, elle reçoit un appel d’un ami frénétique, Ralph (Zachary Mooren), la suppliant de prendre un iPad contenant des codes bancaires contrôlés par l’ex-beau sadique de Gypsy, Jack (Sam Worthington), sur lequel il a accidentellement volé une somme importante. somme d’argent.

Ce que ni Ralph ni Gypsy ne savent, c’est que le fils de Ralph, Sam (Dean Scott Vazquez), possède déjà l’iPad contenant les codes recherchés. Fuyant désespérément un groupe de sbires de Jack dirigé par le canon libre Tommy (Cam Gigandet), Gypsy et Sam se dirigent vers la maison de l’oncle de Sam dans le Dakota du Nord. Mais comme une paire étrange commence lentement Pour créer des liens, Gypsy se retrouve attirée dans les bras de son ex manipulateur et dans ses plans trompeurs.

Même si le film s’appuie sur les interactions véritablement douces et ludiques de la relation entre Gypsy et Sam, le scénario est criblé de contradictions exaspérantes et malavisées. Les personnages censés être pris au sérieux sont dotés soit d’histoires extrêmement problématiques, soit d’excentricités stupides. Le mystérieux traumatisme auquel Gypsy tente d’échapper est un choix peu recommandable dans lequel enraciner son arc d’autonomisation des femmes. Le méchant, censé exhaler le pouvoir et le sex-appeal, apparaît comme un fanfaron stupide avec une fixation orale (qui entrave la prestation de la réplique de l’acteur). Caster un homme de premier plan comme Worthington dans cette partie, et encore moins face à Headey, qui l’élève mal. un matériau dessiné avec de la profondeur et de la dimension, ce qui ne fait que mettre à rude épreuve la crédibilité.

Malgré un déroulement positivement soutenu, le public est tellement en avance sur les personnages que rien n’est surprenant. Et une fois le lieu installé, la modulation du ton devient rapidement un problème. Il y a un manque surprenant de finesse dans le mélange du sexe explicite et de la violence brutale du récit avec les hijinks infusés de légèreté d’un road movie. Les séquences riches en action, comme la poursuite du cimetière de Gypsy et une fusillade décisive dans le parking d’une synagogue, sont mal exécutées avec une cinématographie médiocre et un montage saccadé. Ils contrastent complètement avec le style évocateur et élégant séquences d’ouverture avec lentille établissant notre héroïne.

9 balles cles développements de caractère conduisent rarement à des conclusions satisfaisantes. Quelques intrigues superflues ne parviennent pas à se connecter, principalement celles impliquant la candidature de Jack à la mairie grâce à des relations corrompues détenues par sa séduisante petite amie Lisa (Emma Holzer), et un changement d’avis de l’homme de main Eddie (Martin Sensmeier).. Tasmin (LaLa Anthony), une danseuse exotique troublée dont le SUV Porsche Gypsy vole, injecte désespérément un nécessaire de dynamisme et d’humour pour les débats. Pendant ce temps, Barbara Hershey incarne Lacey, l’amie recluse de Gypsy, et malgré une mauvaise gestion introduction, elle offre une forte apparition à la Linda Hamilton, avec confiance brandissant un fusil de chasse et vaincre ceux qui la menacent.

Le film suscite un minimum de bonne volonté en terminant sur les notes résonantes de « That River », un hymne gospel bluesy chanté par Jac Ross avec des paroles du prolifique auteur-compositeur nominé aux Oscars Warren, réfléchissant sur des thèmes axés sur les personnages concernant le fait de ne pas faire de compromis ou d’abandon. Pourtant, il semble que plus de réflexion ait été consacrée à ces couplets puissants qu’à la fonctionnalité réelle qui héberge la chanson. Il est clair que Gaston aspirait à imiter des films comme L’homme en feu et Un monde parfait, pourtant, son film atteint rarement ces niveaux de qualité. Il y a très peu de poudre à canon pour propulser ces balles.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.avclub.com/9-bullets-review-lena-headey-gigi-gaston-la-la-anthony-1848807718?rand=21406

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