Si vous n’avez pas vu le Film de 2019 « Code 8 » mais pour une raison quelconque, décidez de tenter votre chance avec la suite, n’ayez crainte : « Code 8 : Partie II » commence par un récit vivant d’un avenir pas trop lointain où 4 % des gens « possèdent des capacités surhumaines » et un régime autoritaire. Les forces de police s’appuient fortement sur les robots à deux et à quatre pattes.
Vous ayant plus ou moins rattrapé, le film, réalisé par Jeff Chan et en streaming sur Netflix, présente une fois de plus Connor (Robbie Amell), le protagoniste du premier film, qui sort maintenant de prison et rebute son ancien complice, Garrett (Stephen Amell). (Ce sont de vrais cousins, au cas où vous vous poseriez la question.)
Tous deux sont coincés à Lincoln City, un décor aussi sombre que n’importe quel autre enfer de science-fiction, où chaque jour est un jour sans soleil.
La nouvelle histoire commence avec Tarak (Sammy Azero), un jeune criminel qui tente d’aider sa sœur adolescente, Pav (Sirena Gulamgaus), à trouver une vie meilleure. Il vole un sac d’argent à quelques flics corrompus et est poursuivi par un chien robot policier dans une scène de poursuite rapide, lisible et passablement tendue. Il ne s’échappe pas et Pav s’enfuit. Devinez quel adulte l’aide ?
Avec un tas d’autres tropes de science-fiction contemporaine (« les drogues de synthèse » figurent également dans cette dystopie), nous avons un enfant en danger – un enfant avec, naturellement, ses propres pouvoirs émergents. Le talent de Pav se manifeste d’abord en rendant la télévision bancale quand il y a quelque chose qu’elle n’aime pas.
En fin de compte, même les fans du genre aux standards détendus pourraient essayer de se rebeller de la même manière contre cette offre insipide.
Code 8 : Partie II
Non classé. Durée : 1h40. Regarder sur Netflix.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2024/02/28/movies/code-8-part-ii-review.html?rand=21388