Dans le thriller d’action Netflix Gentille fille (alias le film papa-fille de cette semaine), la star/producteur Jason Momoa est une masse volumineuse de vengeance de la classe ouvrière. Il incarne Ray Cooper, un père de famille aux cheveux longs de Pittsburgh qui passe la majeure partie du film à abattre ou à éliminer des personnes dangereuses qui veulent l’éradiquer avant qu’il ne se rapproche trop de La Vérité. Ils ne savent pas que leur cible vit pratiquement au gymnase et qu’elle frappe le sac de boxe et s’entraîne sur le ring assez longtemps pour posséder le type d’entraînement au combat au corps à corps habituellement réservé aux Navy SEAL.
Nous avons le regret de vous informer que Jason Momoa s’est rasé la tête
D’après le film, c’est ce qui arrive lorsqu’une personne perd un être cher à cause d’un cancer. Cooper entre sur le sentier de la guerre après qu’une grande société pharmaceutique ait retiré du marché un médicament qui aurait pu sauver sa femme mourante (Adria Arjona). (L’entreprise est dirigée par Justin Bartha, dont nous savons qu’il joue un rôle car nous le voyons pour la première fois dans une émission d’information portant un gilet écologique.) Cooper s’associe presque à Vice pour faire tomber ladite société via exposé, mais l’équipe est de courte durée, mise fin à une violente attaque qui le laisse poignardé et le journaliste mort. Cooper finit par s’enfuir, sa fille désapprobatrice mais fidèle (ancienne Dora en direct Isabela Merced) en remorque.
A ce stade, il convient de mentionner que Gentille fille a une torsion Big-Ass. Si vous regardez des films depuis 25 ans, vous le verrez arriver avant même la fin de la première moitié. Une fois que vous en avez vent, il y a un certain coup de pied malade de la part du réalisateur ridicule pour la première fois Brian Mendoza et de ses scénaristes, Gregg Hurwitz et Philip Eisner, qui sautent pour donner des indices tout en gardant le public dans le noir. .
The Big-Ass Twist vous ramènera peut-être à 1999, lorsque les deux films Doux Fille les arnaques sont celles qui sont le plus sorties. Pour être honnête, l’ensemble du film est un grand retour maladroit au cinéma des années 90. Le truc de l’adulte et de l’enfant en fuite était quelque chose qui était joué à mort dans les multiplexes de l’ère Clinton. (Quelqu’un se souvient de Bruce Willis protégeant un enfant autiste dans Le température grimpe?) Le film a même sa propre version de l’emblématique sitdown De Niro-Pacino dans Chaleuroù Cooper a une rencontre plutôt respectueuse lors d’un dîner avec le tueur à gages dévoué, joué par Manuel Garcia-Rulfo, à ses trousses.
Aussi terriblement prévisible et absurde que Gentille fille Autrement dit, cela pourrait convaincre les téléspectateurs de nourrir leur propre rancune contre Big Pharma. Mais il s’agit principalement d’un véhicule pour sa star, ce soft musclé Momoa. La brute avec un corps de papa ne prouve pas seulement qu’il peut se botter le cul au cours de ce siècle (et sans l’aide de CGI). Il incarne également son héros col bleu comme un sauvage sensible, chaleureux et aimant avec ses proches lorsqu’il ne déchire pas ceux qui les mettent en danger. Mec a une longue scène de pleurs et tout ! De cette façon, Gentille fille est un autre type de retour en arrière des années 90 : il transforme l’artiste anciennement connu sous le nom d’Aquaman en l’incarnation vivante du mouvement masculin mythopoétique de Robert Bly : un Iron John (ou Iron Jason, pour ainsi dire) pour le 21e siècle.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.avclub.com/its-jason-momoa-versus-big-pharma-in-netflixs-dopey-swe-1847519194?rand=21406