Selon « Back on the Strip », une comédie d’ensemble fastidieuse de Chris Spencer, ce qui fait d’un homme un strip-teaseur à succès n’est pas sa beauté, les bons mouvements ou un personnage de scène mémorable : être un véritable talent unique dans une génération. , postule-t-il, nécessite une dotation substantielle dans le Sud. C’est ce qui a donné à M. Big (Wesley Snipes), le chef d’une équipe de revue masculine autrefois célèbre, son statut légendaire, et c’est ce qui lui permet de voir un prodige en Merlin (Spence Moore II), un jeune homme qui se révèle accidentellement. sur scène lors d’un spectacle de magie désastreux à Las Vegas.
Après que M. Big ait repéré cette promesse, il rassemble son ancienne équipe, les Chocolate Chips, maintenant avec Merlin à la barre. Mais le soi-disant cadeau de Merlin est aussi la malédiction fantaisiste au cœur du film. Voyageant à Vegas à la demande de sa mère (Tiffany Haddish, dont la voix off raconte sans relâche pratiquement chaque scène), Merlin veut devenir un magicien professionnel, mais son corps le met sur un chemin qui, selon lui, est un compromis pour ce rêve.
C’est à la fois dommage et étonnant que le film ait réussi à rassembler une liste de talents aussi étoffée – Snipes, Haddish, JB Smoove, Faizon Love et, dans une apparition, Kevin Hart – pour ce qui équivaut à une chaîne d’usine guindé. comédie.
Voir l’apparition brève mais plate de Hart est une étude sur la façon dont même la puissance d’une étoile d’un mégawatt peut être rendue sans vie sans l’écriture et la direction appropriées. Snipes en particulier se perd dans une performance exagérée et déroutante en tant qu’étalon dont les meilleurs jours sont derrière lui.
De retour sur le Strip
Classé R pour des trucs sexuels, du langage et une certaine consommation de drogue. Durée : 1 heure 57 minutes. Dans les théâtres.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/08/17/movies/back-on-the-strip-review.html?rand=21388