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Critique de "Il était une fois en Ouganda": Quand Ragtag a rencontré Rambo
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Critique de “Il était une fois en Ouganda”: Quand Ragtag a rencontré Rambo

Wakaliwood est plus qu’une maison de production ; c’est un esprit de cinéma hétéroclite né du pur désir de créer. Fondé en 2005 par le scénariste-réalisateur Isaac Nabwana et basé à Wakaliga, un bidonville de Kampala en Ouganda, le studio produit des films d’action hyperviolents à petit budget inspirés de « Rambo » et Chuck Norris mais mettant en vedette des acteurs africains.

Le documentaire « Il était une fois en Ouganda » de la réalisatrice Cathryne Czubek est aussi ludique que les films audacieux de Nabwana, expliquant comment le partenariat improbable entre le cinéaste ougandais et le producteur américain Alan « Ssali » Hofmanis a refaçonné le cinéma africain.

Le documentaire est initialement raconté du point de vue d’Hofmanis. Il explique comment une bande-annonce de Nabwana’s “Qui a tué le capitaine Alex ?” sur YouTube l’a inspiré à voyager en Ouganda, où il a été témoin d’une culture cinématographique pure si différente de l’industrie cinématographique cynique qui l’avait brûlé en Amérique qu’il a décidé de déménager définitivement dans le pays africain pour devenir un partenaire créatif à plusieurs traits d’union sur Nabwana. Films Wakaliwood.

Czubek présente la relation entre Nabwana et Hofmanis comme des montagnes russes artistiques : soit ils collaborent joyeusement sur des idées de scénario pour un film cannibale, soit ils se disputent la direction du studio. La stratégie de Czubek signifie que la femme de Nabwana, Harriet, la directrice du studio, n’attire pas beaucoup l’attention, et cela laisse sans examen le désir d’Hofmanis de partager sa “découverte” de Wakaliwood, à travers son regard blanc, avec le monde.

Le film est le plus fort lorsqu’il capture l’ingéniosité de Nabwana, l’exubérance des volontaires locaux qui lui servent d’acteurs et d’équipe, et la joie que ses films apportent à un public ougandais avide de films. “Il était une fois en Ouganda” vous rappelle comment l’art du cinéma peut rendre les rêves réels.

Il était une fois en Ouganda
Non classé. Durée : 1h34. Dans les théâtres.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/07/06/movies/once-upon-a-time-in-uganda-review.html?rand=21388

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