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Critique de « Mon marin, mon amour » : Quand la romance débarque
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Critique de « Mon marin, mon amour » : Quand la romance débarque

Howard (James Cosmo), le veuf irlandais et capitaine à la retraite du drame doux-amer de Klaus Haro « My Sailor, My Love », est furieux que sa fille ait embauché une femme de ménage de bonne humeur nommée Annie (Brid Brennan), pour perturber sa solitude. Au début, le grincheux fait de son mieux pour effrayer l’envahisseur. “Ne noircissez plus jamais ma porte!” tonne-t-il d’un ton démodé, comme s’il était inconsciemment conscient que les écrivains Kirsi Vikman et Jimmy Karlsson s’inspirent de siècles d’histoires d’amour sur des hommes sauvages et des femmes civilisées. Le décorateur John Hand a même travaillé sur un clin d’œil à la rose de « La Belle et la Bête ».

Le problème, c’est qu’après avoir précipité la romance (la brute est apprivoisée en une semaine !), Haro reporte son attention sur la fille, Grace (Catherine Walker), qui est injustement, mais compréhensible, lésée. Son père l’a toujours traitée avec cruauté – comment ose-t-il être gentil avec quelqu’un d’autre ?! Le ressentiment de Grace est une tournure astucieuse. Imaginez la théière chantante de Disney s’inscrivant à une thérapie par le cri primal, sauf que lorsque Grace participe à un groupe de soutien pour les femmes qui ont trop donné, elle ne peut pas se défouler.

La vie et la conception des costumes du film n’ont pas été justes envers le misérable dévoué de Walker. (Quand pourrons-nous arrêter d’habiller ce genre de personnage avec des tresses beige pâle et qui provoquent des maux de tête ?) Chacune de ses scènes est une indignité surestimée par une partition de cordes et de piano qui doit s’atténuer. La dynamique douloureuse est crédible ; le dialogue pas tellement. Pourtant, les acteurs maîtrisent pleinement notre empathie, en particulier la gardienne aux cheveux gris de Brennan qui, lorsqu’elle ouvre son cœur, semble rayonner de l’intérieur.

Mon marin, mon amour
Non classé. Durée : 1 heure 43 minutes. Dans les théâtres.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/09/21/movies/my-sailor-my-love-review.html?rand=21388

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