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Critique de « The Stones et Brian Jones » : sympathie pour un rocker fondateur
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Critique de « The Stones et Brian Jones » : sympathie pour un rocker fondateur

C’est particulièrement indigne d’être exclu du groupe que vous avez fondé.

Dans les annales de la mythologie pop tragique, l’expulsion de Brian Jones des Rolling Stones a continué à se répercuter bien après sa sortie ; Jones est décédé chez lui en Angleterre un mois plus tard, à l’âge de 27 ans, en juillet 1969. Le dernier documentaire de Nick Broomfield, « The Stones and Brian Jones », revient sur l’ascension et la chute de Jones, en s’attardant sur les jeux de pouvoir intra-groupe et les rapides une vie qui l’a contribué à le faire tomber.

Mick Jagger et Keith Richards jouissent aujourd’hui de l’immortalité du rock, mais Broomfield souligne le brin crucial de Jones dans l’ADN des Stones. L’amour de Jones pour le blues a allumé un feu brûlant dans l’âme du groupe, même s’il a changé de vitesse musicalement. Le bassiste des Stones, Bill Wyman, est sur place pour louer (et interpréter avec douceur) le toucher instrumental inspiré de son camarade de groupe, du travail de guitare slide à sa flûte à bec flottante sur « Ruby Tuesday ».

Mais les interviews (la plupart uniquement audio) s’appuient de manière décisive sur l’instabilité personnelle de Jones. Son côté rebelle a conduit sa famille à le chasser ; plus tard, il a engendré des enfants de plusieurs femmes. Le côté tendre de ce film est que certains de ses ex – parmi lesquels Anita Pallenberg et Zouzou, l’actrice française – l’aident à raconter une grande partie de son déclin dû à la drogue, la plupart avec tendresse. Zouzou Gallically pense que Jones poursuivait les femmes qui lui ressemblaient même s’il ne s’aimait pas.

Bien que Broomfield ait réalisé des documents d’enquête sur Kurt Cobain et Courtney Love, ainsi que sur Biggie et Tupac, il ne rouvre pas le cas de la noyade de Jones. Sa voix off de type annonceur et ses interviews parfois bancales pourraient évoquer un exposé « Derrière la musique », mais il ressemble surtout à un fan avec une sympathie triste pour son diable de sujet.

Les Stones et Brian Jones
Non classé. Durée : 1 heure 33 minutes. Dans les théâtres.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/11/16/movies/stones-and-brian-jones-review.html?rand=21388

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Tags: Brian, critiqué, fondateur, Jones, pour, Rocker, Stones, sympathie
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