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Les feux occidentaux à blanc de Walter Hill
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Les feux occidentaux à blanc de Walter Hill

Le réalisateur Walter Hill a 80 ans, donc à moins qu’il ne réalise quelque chose de vraiment bien très rapidement, son effort de réalisation le plus connu sera la comédie d’action Eddie Murphy-Nick Nolte de 1982. 48 heures. Ce serait dommage parce que le film, bien que formidable, n’est pas l’œuvre la plus aboutie de Hill. Son classique culte de 1979 Les guerriers est un mieux barré film et années 1978 Le conducteur est le meilleur film automobile que vous n’ayez jamais vu. Mais ce sont ses westerns, les laborieux Mort pour un dollar néanmoins, cela lui a valu une place au firmament de la réalisation. Ses westerns les plus marquants, comme le pilote de HBO Bois morts et le drame de 1980 Les longs cavaliersont galopé en ville sur un cheval à l’air familier, et leur énergie laconique de frontière et leurs explosions de violence ont habilement divisé la différence entre une tradition respectueuse et un révisionnisme audacieux.

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Dans Mort pour un dollarHill ne revisite pas non plus les extrêmes visuels avec lesquels il a flirté dans les années 1995. Bill sauvage il n’honore pas non plus son mentor, le réalisateur Sam Peckinpah, avec une brutalité ballet rendue au ralenti. Où Hill semble aller, sinon nulle part rapidement, est révélé dans une page de générique de clôture qui se lit comme suit : À la mémoire de Budd Boetticher. Réalisateur méconnu de films de série B qui fut brièvement matador au Mexique avant de se tourner vers le cinéma, Boetticher est surtout connu pour ses drames du Far West mettant en vedette l’icône du cow-boy Randolph Scott, notamment ceux de 1957. Le grand T et les années 1960 Gare de Comanche. Ses films étaient de style simple mais plus psychologiquement approfondis qu’on ne le croit.. Boetticher a un jour résumé l’attrait du western en disant : «un homme a un travail à faire, ou deux hommes. Ils essaient de le faire contre des obstacles énormes. Ils le font. » Et cela nous amène à Mort pour un dollarà propos d’un chasseur de primes nommé Max Borlund qui a un travail à faire, et il le fait.

Borlund, le remplaçant de Randolph Scott dans le film, est interprété par un Christoph Waltz stoïque et mal adapté, son scintillement caractéristique et son sourire narquois effacés par la pression d’être un homme d’honneur vivant en 1897. Borlund a été embauché par « un homme d’affaires éminent ». » Martin Kidd (un très bon Hamish Linklateuh) pour retrouver sa femme, Rachel (Rachel Brosnahan), qui a été kidnappée par le soldat buffle Elijah Jones (Brandon Scott). Jones a trois semaines d’avance sur tous ses poursuivants, mais Borlund se voit attribuer un camarade soldat buffle nommé Alonzo Poe (Warren Burke) pour l’aider dans la recherche.

En parlant de ça, si tout ça ressemble à un riff sur Les chercheursHill, qui a co-écrit le Mort pour un dollar scénario avec Matt Harris, ne mord pas à l’hameçon. En fait, il le grignote à peine, ce qui laisse sur la table des commentaires sociaux prometteurs. Une poignée de scènes sont consacrées à Elijah et Poe, que Hill gaspille principalement en contournant assidûment les problèmes raciaux de l’époque. Seul le bref combat au coup de fouet de Poe a une piqûre, alors qu’un homme noir retourne une arme de tourment contre son bourreau blanc. Rachel s’en sort mieux. C’est une enseignante à l’air sévère et audacieuse dont les motivations ultimes lui donnent une certaine liberté d’action, même si Brosnahan n’y trouve pas beaucoup de nuances.

Les visuels du film sont capturés sur un écran large approuvé par John Ford, ce qui signifie de nombreux plans passe-partout, bien que beaux, des plaines sans fin. Sinon, son look est simple comme celui de Boetticher, mais trop fluide numériquement et manquant de courage. De nombreux intérieurs semblent en parfait état décors de scène. Le blocage pour la fusillade finale voit Borlund se tenir principalement dans des zones grandes ouvertes sans jamais se faire tirer dessus. Ce Haut midiLe point culminant de style fournit un contact de violence à double canon, même si nous ne nous soucions pas du tout de ce qui arrive à qui que ce soit.

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En effet, rarement aussi peu de tension aura été générée par un héros avec autant de méchants alignés pour le tuer. Willem Dafoe a un bon vieux temps dans le rôle de Joe Cribbens, un voleur de chevaux texan enfermé par Borlund cinq ans plus tôt. Leur confrontation d’ouverture suggère qu’il est le méchant majeur du film. Au lieu de cela, le combat de boss oppose Borlund au Mexicain BMOC Tiberio (Benjamin Bratt, s’amusant également), dont l’avant-garde, Esteban, est interprété par un Luis Chavez parfaitement interprété. Hill déplace généreusement ces pièces d’échecs à mesure que les alliances changent et que les mensonges sont découverts, donnant à chacun la possibilité de révéler ou de réclamer sa bonne réputation morale, y compris les autorités mexicaines, qui s’en sortent rarement bien dans les westerns. Mais si Hill est révisionniste, alors nous devons redéfinir le mot parce que la plupart des personnages vont et viennent, vivent et meurent, selon les besoins, au lieu de repousser des limites particulières.

En fin de compte, Hill exerce ses fonctions comme un homme à louer dans Mort pour un dollar, tout comme Max Borland est un homme à louer au Mexique. Hill a prêté son style épuré et masculin à un nombre étonnamment diversifié de films, y compris la comédie de Richard Pryor de 1985, entre guillemets, Les millions de Brewsteret le raté de science-fiction de 2000 Supernova (qu’il a quitté en post-production et dont son nom a été retiré de). Mais apporter si peu de choses au genre auquel il est le plus associé est particulièrement décevant. Dans le rôle de Hill, le producteur primé aux Emmy Awards de la mini-série Western de 2006 Sentier brisé a raconté un jour : « Les acteurs d’autrefois disaient que si vous avez le bon cheval et le bon chapeau, le reste était en ruine. » Avec Hill’s Mort pour un dollar, cela s’avère faux. Bien qu’il veuille peut-être prendre note de la partie concernant la descente.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.avclub.com/dead-for-a-dollar-movie-review-walter-hill-1849579237?rand=21406

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Tags: blanc, feux, Hill, Les, occidentaux, Walter
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