Imaginez ceci: un tueur présumé fuyant le gouvernement; un président bourru étimulant les ennemis dans un avion; Un ancien soldat soumis à un lavage de cerveau impliqué dans une conspiration. Ce ne sont pas les thrillers politiques épineux «The Fugitive» ou «Air Force One» ou «The Mandchourien», c'est «Captain America: Brave New World».
Là encore, le film a recruté Harrison Ford dans un univers cinématographique qui a soudé à lui seul le clin d'œil moderne – pourquoi ne pas nous donner ce que nous attendons? Dans ses premières événements, «Brave New World» est en effet lu en partie comme un film de genre paranoïaque des années 90 piégé dans un film Marvel, luttant pour se libérer de ses contraintes de franchise: trop de configuration, trop de méchants, trop de tra qui finement dispersés.
Après que Sam Wilson (Anthony Mackie), alias le nouveau Captain America, récupère une substance précieuse connue sous le nom d'Adamantium du méchant Sidewinder (Giancarlo Esposito comme une itération martelée de Gus Fring, son “bad bad”), il le ramène à un président reconnaissant Ross (Harrison Ford). Lors d'un rassemblement destiné à annoncer un traité mondial autour de l'utilisation d'Adamantium, le président est presque assassiné par Isaiah Bradley (Carl Lumbly, un point lumineux), un ancien soldat qui devient voyou. Wilson, à son tour, part pour trouver le méchant mystère qui contrôle non seulement Bradley, mais aussi ce qui devient finalement un Ross-Mad Ross.
C'est beaucoup à traiter et pourtant pas assez pour retenir votre attention. Pour toutes les ambitions du genre du film, les seules vôles d'intrigue politique tangible à trouver sont dans celles involontaireou via des allusions à celles déjà explorées (politique de classe mondiale et messages mitigés sur un Captain America noir dans le précurseur de la télévision du film, “The Falcon and the Winter Soldier”).
Ce qui reste à la place, c'est un film dont l'idée de tension est principalement de se déplacer à une vitesse lumineuse avec une explication constante. Le film, réalisé par Julius Onah, a la couture effilochée d'un film marqué par remaniement et modifications: L'écriture est raide et l'ensemble est principalement sans charme, tandis que les visuels sont slapdash.
En tant que nouveau Captain America, Mackie était peut-être condamné dès le début. Et pourtant, il n'a pas le magnétisme mégawatt pour élever, ou même juste obscur, la mauvaise construction d'une franchise de traits de tente par lui-même. C'est un bien meilleur acteur ailleurs, mais ici son Avenger autonome et le mauvais blockbuster ne montrent que les coutures lâches.
Ce sur quoi le film s'appuie principalement, c'est Ford, non seulement en tant qu'acteur, mais comme son alter ego. Lorsque le Red Hulk apparaît enfin, c'est un module complémentaire – un dernier effort pour reprendre au lieu le type de joie de service de fans de Mervels Old. Avec son action bon marché et ses visuels criards, c'est alors que nous entrons dans un autre genre: la publicité sur la figure d'action.
Captain America: Brave New World
Classé PG-13 pour Hulk Smashes. Temps de marche: 1 heure 58 minutes. Dans les théâtres.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2025/02/12/movies/captain-america-brave-new-world-review.html?rand=21388