Michael (Lamar Johnson), le protagoniste de “Brother”, est un adolescent calme souvent incertain de lui-même, un trait qui est particulièrement prononcé lorsqu’il se déplace à travers le monde à côté de Francis (Aaron Pierre), son aîné maître de lui et physiquement imposant. frère. L’histoire du passage à l’âge adulte de Michael se déroule dans l’ombre de Francis, qui veut que Michael apprenne à mieux se comporter. Les deux adolescents, tous deux noirs, grandissent dans un quartier pauvre et majoritairement composé d’immigrants du district de Scarborough à Toronto.
Écrit et réalisé par le cinéaste canadien Clement Virgo et basé sur un roman du même nom de David Chariandy, le film traverse le temps, principalement entre Michael alors qu’il était lycéen, lorsqu’il suit Francis à Scarborough, et 10 ans plus tard, longtemps après que la tragédie a frappé, lorsque Michael doit s’occuper de leur mère en deuil, Ruth ( Marsha Stéphanie Blake).
Tourné avec une palette lunatique et stylisée et soutenu par une partition émouvante, le travail de Virgo contient les éléments de ce qu’il s’efforce si désespérément d’être : un drame poignant sur le passage à l’âge adulte sur la masculinité, ses pièges et sa fragilité ; sur le chagrin; et sur les réalités sociales d’une certaine expérience d’immigrant noir. Parfois ça peut l’être. Mais il devient obsédé par l’idée de s’imprégner de solennité, plutôt que de la gagner organiquement. Les éléments dramatiques finalement clairsemés ici semblent plus adaptés à un court métrage; dans une production de long métrage, ils deviennent trop minces pour supporter les grands sentiments et les thèmes lourds que le film veut nous laisser.
Frère
Non classé. Durée : 1h59. Dans les théâtres et disponible à la location ou à l’achat sur la plupart des principales plateformes.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/08/03/movies/brother-review.html?rand=21388