Le documentaire du réalisateur Toby Amies « In the Court of the Crimson King » est à la fois une chronique routière et une rétrospective et capture King Crimson, l’ensemble de rock britannique aventureux, à ce qui pourrait être la fin de son existence. Robert Fripp, pendant des années le seul membre original du groupe, a fortement suggéré que sa tournée de 2021 serait la dernière. (Il n’a pas tourné depuis.)
L’un des créateurs du sous-genre appelé rock progressif ou art rock, King Crimson est, selon à qui vous le demandez, soit incroyablement prétentieux, soit étonnamment aventureux. Fripp, un guitariste infiniment réfléchi et méticuleusement articulé, est l’explication la plus infatigable et paradoxale du groupe dans le film. Il aime les déclarations comme : « Pour que le silence devienne audible, il faut un véhicule. Et ce véhicule est la musique.
À un moment donné, Fripp décrit son expérience au sein du groupe de 1969 à 2016 comme « misérable ». Qu’est-ce qui a changé en 2016 ? Il a constitué un groupe de musiciens stellaires qui ont fait ce qu’il lui avait demandé. Le film présente leurs réflexions ainsi que des entretiens avec d’anciens membres qui avaient de fortes différences avec Fripp.
Alors que les vidéos YouTube que Fripp et sa femme, la chanteuse Toyah Willcox, ont commencé à réaliser pendant la pandémie révèlent le guitariste comme un fou aux manières douces, excentrique et uxorieux, il peut se présenter comme un martinet tête d’œuf dans le contexte du groupe qu’il a dirigé. depuis un demi-siècle. Mais il est aussi dur avec lui-même qu’avec les autres, pratiquant la guitare quatre à cinq heures par jour et s’assujettissant à d’autres formes de discipline comme prendre une douche froide le matin : « Ton corps ne veut pas sous une douche froide », dit-il dans le film. “Donc vous dites à votre corps : ‘Faites ce qu’on vous dit.'”
Bill Rieflin offre une autre perspective sur le groupe, en tant que musicien qui a choisi de passer ses dernières années en tournée avec Crimson. Il mort d’un cancer en 2020. Son dévouement rend palpables les adages de Fripp sur la nature sacrée de la création musicale.
À la cour du roi cramoisi : le roi cramoisi à 50 ans
Non classé. Durée : 1 heure 26 minutes. Dans les théâtres.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/11/02/movies/in-the-court-of-the-crimson-king-king-crimson-at-50-review.html?rand=21388