La perspective d'un film d'animation sur les paresseux présente un défi revigorant. Quelle est la meilleure façon de faire tourner une histoire pour enfants comique sur les mammifères les plus lents sur Terre? Sid, la paresse centrale de la franchise «Ice Age», est lente d'esprit mais rapide dans le corps, tandis que «Zootopia» a installé son paresseux, Flash, en tant qu'employé sans hâte du Département des véhicules de mammifères.
«Une histoire paresseuse», une caractéristique animée australienne dirigée par Ricard Cussó et Tania Vincent, prend une vitesse paresseuse et l'applique non pas aux gags, mais à une histoire sentimentale qui se déroule dans le monde culinaire. La famille Romero-Flores travaille dans la restauration depuis des générations et est connue pour sa cuisine lente. Mais une fois que le quatuor a survécu à une catastrophe naturelle qui détruit sa ville natale, ils sont obligés de prendre leurs recettes sur la route dans un camion de restauration en clignotant.
Le film appartient à «The Tales from Sanctuary City», une franchise australienne, et comme ses prédécesseurs, «une histoire paresseuse» souffre d'un design visuel plasticky. Les personnages semblent raides, comme les figures d'action, et leurs aliments, censés avoir l'air appétissants, sont souvent rendus comme des médaillons colorés.
L'intrigue est un affrontement standard entre l'art et le commerce, incarné par un paresseux préadolescent agité nommé Laura (exprimé par Teo Vergara) et Dotti (Leslie Jones), un guépard de magnat de la restauration rapide. Il fait plusieurs gestes à des questions réelles, notamment dans la catastrophe climatique d'ouverture et dans une scène parodie de l'appropriation culturelle dans l'industrie culinaire. Mais «une histoire paresseuse» s'en tient principalement aux bases – solidarité, identité, douleurs croissantes – dans un conte assez générique pour correspondre à son titre.
Une histoire paresseuse
Nominal pg. Temps de marche: 1 heure 30 minutes. Dans les théâtres.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2025/02/27/movies/a-sloth-story-review.html?rand=21388