Une stratégie de narration durable consiste à mettre certains personnages dans une cage et à les regarder se battre. Il y a une raison pour laquelle tant de mystères, de thrillers et de films d'horreur ont lieu dans des quartiers proches: les verrouillage ont un moyen de transformer les gens en animaux de laboratoire. Et quelle que soit la cause – la nature, l'éducation ou la création de scénarios – lorsque les personnages sont coincés ensemble, ils se rongent souvent, qu'ils soient sur Un canot de sauvetagedans un hôtel ou sur un île privée.
Le drame étudié «Who By Fire» de l'écrivain-réalisateur de Québecois, Philippe Lesage, se déroule dans une région sauvage canadienne qui est aussi swoonly que c'est éloigné rapidement. Situé sur quelques jours flous, l'histoire se déroule en grande partie dans et autour d'une propriété au bord de l'eau, une tranche de paradis si isolé que les visiteurs arrivent en hydravion. Là, les vieux amis et les nouvelles connaissances se connectent. Ils lisent, écoutent de la musique, dansent un peu, et crient et crient sur des dîners remplis de vin et parlent. Au milieu de la légèreté et des idées lourdes de Lesage sur les hommes et la masculinité, ils aiment aussi la nature et, parfois, essaient de le dominer et de les dominer.
Lesage a un œil formidable, et il ouvre le film avec un Grabber: un coup hypnotique d'une vieille Mercedes boxy seule sur une autoroute à la distance proche, une série de notes électroniques bourdonnantes montant et tombant sur la bande originale. Alors que la voiture passe des kilomètres de forêt montagneuse dense, LeSage garde le véhicule régulièrement positionné au point de fuite de l'image, qui maintient votre regard de la même manière. Extérieurement, la configuration semble familière (vous pourriez suivre des amis dans votre propre voiture), mais l'absence de sons étrangers – il n'y a pas de vent, pas de moteur tourbillonnant – donne le tout un intemporel rêveur et quelque peu étrange. Quelle que soit la période, certains épanouissent à l'ancienne et l'absence de téléphones portables suggèrent qu'il s'agit d'une pièce de mémoire.
La voiture appartient à Albert (Paul Ahmarani), un scénariste qui est en route vers la maison d'un ami avec sa fille adulte, Aliocha (Aurélia Arandi-Longpré), son fils cadet, Max (Antoine Marchand-Gagnon) et l'ami de Max Jeff (Noah Parker). Le propriétaire de l'escapade à distance est Blake (Arieh Worthalter, un fil en direct efficace), un réalisateur à succès avec un Oscar sur une étagère et un avion à l'avant. Les bagages de Blake se révèlent plus lourds que ses visiteurs: il a une femme morte, un ego lourde et un passé chargé d'Albert. Lorsque les deux vieux amis se rencontrent, tout est souri et porte des câlins. Avant longtemps, cependant, tout le monde est en l'air dans l'avion de Blake et s'est dirigé vers une saignée émotionnelle, psychologique et spirituelle.
Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2025/03/13/movies/who-by-fire-review.html?rand=21388