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Revue « Portrait de la reine » : à la recherche de nouveaux angles sur un visage familier
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Revue « Portrait de la reine » : à la recherche de nouveaux angles sur un visage familier

Le flux de programmes qui ont, au cours des 70 dernières années, documenté la vie de la reine Elizabeth II est sans fin. Pourtant, « Portrait de la reine » adopte un angle unique, examinant la création de l’image publique de la reine en s’adressant, dans ses moments les plus efficaces, à une poignée de photographes qui ont pris son portrait tout au long de son règne.

C’est une perspective relativement intéressante à utiliser pour considérer un monarque qui est resté obstinément impénétrable depuis son couronnement en 1953 jusqu’à sa mort en 2022à 96. En effet, les rythmes les plus éclairants du documentaire proviennent des souvenirs des photographes de moments privés avec la reine, lorsqu’ils observent son personnage réservé ponctué de lueurs de vulnérabilité.

Malheureusement, ces scènes sont rares dans un film enlisé dans des séquences superflues et des incohérences formelles : une partition galvaudée et tonale confuse ; deux narrateurs (dont l’un est un Charles Dance trop maussade) ; et des interviews de têtes parlantes qui oscillent entre des citoyens ordinaires et des célébrités apparemment aléatoires, dont Susan Sarandon et Isabella Rossellini. (Fabrizio Ferri, réalisateur du film et photographe de mode, a clairement demandé une faveur ou deux.)

Des éléments qui auraient pu constituer un documentaire quelque peu intrigant se perdent dans ce qui équivaut à un fastidieux morceau d’agitprop qui régurgite finalement l’image consciencieusement respectueuse d’Elizabeth que nous avons vue maintes et maintes fois.

Portrait de la Reine
Non classé. Durée : 1h20. Louez ou achetez sur la plupart des principales plateformes.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.nytimes.com/2023/09/06/movies/portrait-of-the-queen-review.html?rand=21388

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